Le 8 octobre, je participais à l’évènement en ligne « Green ships Europe » porté par Surfrider Foundation Europe, et animé par Antidia Citores, qui récompensait des armateurs français engagés dans la transition.
L’occasion d’évoquer notre travail parlementaire en faveur de la réduction des émissions de carbone dans le transport maritime, au travers du texte législatif que nous avons voté en septembre sur la collecte de donées (MRV) et du travail en cours sur un rapport d’initiative sur un transport maritime plus propre. J’ai entre autre rappelé l’objectif européen de 40% réduction des émissions de CO2 d’ici à 2030, l’idée retenue d’un fonds Océan dédié au soutien de nouvelles technologies pour « décarboner » le secteur maritime et à la gestion durable des écosystèmes marins ou notre soutien à l’idée d’un label du shipping comme celui conçu par SurfRider et Armateurs de France.
Le travail réalisé conjointement par cette ONG et le secteur du « shipping » est un exemple formidable d’une co-construction réussie entre deux acteurs qui ne dialoguaient sans doute pas beaucoup autrefois.
